Une américaine croyait que sont expérience à Lyon serait comme Emily in Paris. Mais elle est vite désillusionnée lorsqu’elle se rend compte que personne ne parle anglais et que tout le monde parle… français.
Une américaine croyait que sont expérience à Lyon serait comme Emily in Paris. Mais elle est vite désillusionnée lorsqu’elle se rend compte que personne ne parle anglais et que tout le monde parle… français.
Selon les anglais:
Protéger le français c’est de la xénophobie.
Si la culture francophone ne survie pas de ses propres mérites (e.g: sans loi), elle ne mérite pas d’être préservée.
Parler en anglais partout, au travaille, en publique, dès qu’il y a un anglo à porté ce n’est pas suffisant. Faudrait qu’absolument tous les services soient disponibles en anglais. Parce ce que…
C’est innaceptable pour un anglophone qu’un petit bout de terre sur le continent ne respecte pas leur privilège. Les francophones qu’ils n’ont nul part d’autre à aller qu’ils aillent chier, on va quand même pas apprendre à parler deux langues.
Si le Québec se fait assimiler, c’est finis pour toujours le Français en Amérique. Mais c’est étrangement compliqué pour les anglais de comprendre la situation un peu unique du Québec, étant encerclé par littéralement une seule langue. Mais après, quand je vois comment ils traitent n’importe qui d’autre ne parlant pas anglais, je comprend que ce n’est pas unique à comment ils traitent le Québec.
Désolé pour les fautes, ça fait des années que ma vie est an anglais ici. La dernière fois ou j’ai pu parler et écrire en français au travaille c’était en 2020 avant qu’un employé anglophone rejoigne mon équipe. Speak white!