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[Extrait de l’article]
« L’équipe tient car on n’est pas parti de grands principes. Sur le salaire, par exemple, on a fait un travail avec le Réseau salariat [une association d’éducation populaire] pour comprendre les enjeux des différences de salaires, et c’est au bout de ce processus qu’on a choisi l’égalité des salaires », précise Benjamin. Cette égalité salariale permet aussi de pouvoir financer 17 postes grâce aux actes de soin [2] Aujourd’hui, les 17 salarié·es du centre touchent environ 1.800 euros nets par mois pour un « équivalent temps plein ».
[…]
Cinq médecins généralistes, une infirmière, deux kinés, deux accompagnants sociaux, une médiatrice, trois personnes à l’accueil, une accompagnante à la vie relationnelle, deux coordinat·rices administrati·ves, un·e orthophoniste.
J’ai du mal à comprendre le but ? je veux dire, médecins et infirmiers, ce n’est pas le même niveau de connaissance, juste l’écart du nombre d’années d’études en dit long. Donc tous les payer au même salaire n’a pas trop de sens
Réduire les coûts pour les patients, puisque c’est un centre autogéré ?
Édit : le financement est détaillé dans l’article
Parce que sans l’attrait du pognon personne ne ferait des études longues ? Et si c’était l’inverse, et que le pognon attirait que les personnes les moins soucieuses d’étudier, et qui ont le moins d’envie viscérale de soigner leurs prochains ?
A travail égal, payer des gens différemment parcequ’ils ont eu la possibilité et la capacité d’apprendre en université n’a pas trop de sens non plus.