La décision du milliardaire d’aider l’association caritative à hauteur de 10 millions d’euros a suscité l’indignation d’une partie de la gauche. Derrière la critique de la charité privée, on devine une détestation des riches malheureusement courante.
Qu’entends-je ? Le bruit des chiens de garde qui aboient ?
Bien sûr que pour l’Express les milliardaires n’ont jamais tort, sinon Patrick Drahi ne serait pas actionnaire à 49% du journal.