Il me semble que ça a été le cas, il y a une ou deux années d’essai dans des départements pilotes
Il me semble que ça a été le cas, il y a une ou deux années d’essai dans des départements pilotes
Il y a justement une réémergence du FLB, avec un appel à rejoindre la révolte contre les étrangers, tout cela sur fond d’amertume de voir que des choses simple comme se loger devient impossible vu qu’avoir sa maison de campagne en Bretagne est à la mode.
Personnellement, je me contrefiche de tout cela. Ces questions d’indépendance me dépasse, et cela fait belle lurette que je dédis ma vie à ma famille plutôt qu’à un défilé pantin, français ou Breton
Ce qui m’agace le plus, en tant que personne qui souhaite un contrôle strict des frontières, c’est la pensée magique “soyons tolérant, soyons doux, soyons acceuillant.”
Je veux bien que l’on acceuil un réfugier car son pays est en guerre. Mais que l’on ne se targue pas de faire une bonne action quand c’est notre économie, notre politique extérieur… Qui alimente le conflit dans son pays.
Je ne m’identifierai probablement jamais à l’extrême droite en France car je n’ai pas cette volonté d’être bien chez moi, mais que tout homme et femme puisse vivre paisiblement chez lui et n’ai pas cette nécéssité d’immigrer
C’est drôle; quand j’y réfléchi, en effet, je n’ai pas souvenir d’avoir eux une partie de Uno sans que les règles soient débatues
Personnellement, j’aime le vélo, pour le loisir et le transport, mais je n’en fais quasiment plus pour des raisons de sécurités. Je ne compte même plus le nombre d’accidents que j’ai eux, en ville comme en campagne, à cause d’un chauffard qui doit penser que mon vélo est magique et éthéré. Dommage, j’adorai l’utiliser pour le travail
Je suis d’accord. Sans abolir la propriété privée, j’aimerai que son accès soit réglementé, et que des logis ne soient pas accaparé par des personnes qui y passent 1 mois dans l’année.
Les conséquences sont catastrophiques, des villages cotier entier dépérissent en dehors de l’été, des maisons qui vaudraient pas plus 50.000e dans la Bretagne profonde voient leur prix multiplié par 10 voir plus si elles se trouvent au bord de l’océan.
Il y a une mairie qui, il y a peu, à vendu des parcelles avec vu sur océan à des prix plus que raisonnables, à l’unique condition qu’elles soient utilisées à des fins permanentes. J’aimerai que ce genre de mesures soient moins isolées