Depuis le 15 septembre, huit écoles ont été incendiées ou vandalisées, et des manifestations ont éclaté à travers le pays pour protester contre l'instauration cours d’éducation à la vie relationnelle affective et sexuelle.
Ça fait partie de l’endoctrinement, la sexualité ne doit surtout pas être vue comme normale et naturelle mais comme quelque chose de honteux contre laquelle il faut lutter, rapport à notre état naturel de pêcheur etc. C’est mieux si les croyants ont toujours quelque chose à se reprocher, ça évite les questions gênantes et les remises en cause.
Du coup les gens qui ont grandi là-dedans mélangent tout, parler de la puberté et des parties intimes est forcément quelque chose d’obscène, porte ouverte aux TP de masturbation et autres délires de frustrés perturbés.
Je trouve franchement ça simpliste comme analyse. La sexualité, et surtout la sexualité de ses enfants pour un parent, est un domaine qui relève de l’intime, plein de dangers pour soi-même et pour les autres. Et par ailleurs la sexualité s’inscrit dans un “gestalt” social que chacun doit apprendre à naviguer, à faire une fusion complexes d’aspiration individuelles et de normes extérieures.
Confier ça à quelqu’un d’autre quand on est parents ça demande une grande confiance, confiance que l’institution scolaire, pour de bonnes et mauvaises raisons, peine à gagner.
Je trouve que c’est plus “on a une certaine idée de la façon dont on souhaiterait que nos enfants abordent la sexualité, et on a aucune confiance en l’école pour le faire correctement” , plutôt que “le sexe c’est mal”.
C’est pour ça que personnellement, je trouve qu’un cour d’éducation sexuelle devrait se borner à être un cour de biologie de la reproduction humaine.
Je vois l’argument, mais les parents ont aussi beaucoup plus de temps et d’opportunités pour aborder le sujet de la sexualité avec leurs enfants que l’école, Ca me parait pas réaliste de se sentir menacé par quatre heures de cours sur toute une scolarité. (quatre heures qui sont pour certains malheureusement leur seule opportunité d’en parler)
Ça fait partie de l’endoctrinement, la sexualité ne doit surtout pas être vue comme normale et naturelle mais comme quelque chose de honteux contre laquelle il faut lutter, rapport à notre état naturel de pêcheur etc. C’est mieux si les croyants ont toujours quelque chose à se reprocher, ça évite les questions gênantes et les remises en cause.
Du coup les gens qui ont grandi là-dedans mélangent tout, parler de la puberté et des parties intimes est forcément quelque chose d’obscène, porte ouverte aux TP de masturbation et autres délires de frustrés perturbés.
Je trouve franchement ça simpliste comme analyse. La sexualité, et surtout la sexualité de ses enfants pour un parent, est un domaine qui relève de l’intime, plein de dangers pour soi-même et pour les autres. Et par ailleurs la sexualité s’inscrit dans un “gestalt” social que chacun doit apprendre à naviguer, à faire une fusion complexes d’aspiration individuelles et de normes extérieures.
Confier ça à quelqu’un d’autre quand on est parents ça demande une grande confiance, confiance que l’institution scolaire, pour de bonnes et mauvaises raisons, peine à gagner.
Je trouve que c’est plus “on a une certaine idée de la façon dont on souhaiterait que nos enfants abordent la sexualité, et on a aucune confiance en l’école pour le faire correctement” , plutôt que “le sexe c’est mal”.
C’est pour ça que personnellement, je trouve qu’un cour d’éducation sexuelle devrait se borner à être un cour de biologie de la reproduction humaine.
Je vois l’argument, mais les parents ont aussi beaucoup plus de temps et d’opportunités pour aborder le sujet de la sexualité avec leurs enfants que l’école, Ca me parait pas réaliste de se sentir menacé par quatre heures de cours sur toute une scolarité. (quatre heures qui sont pour certains malheureusement leur seule opportunité d’en parler)